2020, un bilan particulier…

L’année 2020 se termine dans quelques heures et aura été une année surréaliste à plusieurs égards.  Il y a évidemment la pandémie de COVID-19 qui nous vient en tête en premier, car elle nous a tous touché, a modifié pour longtemps notre environnement, mais vous rappelez-vous des autres événements de l’année? Attachez-votre ceinture, l’année 2020 que plusieurs ont hâte de voir se terminer, nous en a fait voir de toute les couleurs. C’est pas mêlant, on aurait pu voir une vache s’envoler qu’on n’y aurait pas porté attention.

La Terre a débuté cette année rocambolesque par un message de raz-le-bol de la façon de vivre de l’Humanité.  Des températures record et des feux sans précédent ont ravagé l’Australie en janvier causant entre autre la disparition de plus d’un milliards d’animaux, des records de froid ont été enregistrés en Arabie Saoudite, plus de 38 degrés en Sibérie, une canicule pas possible au Québec où il a fait plus de 36 degrés pendant quatre jours. Il y a tellement eu d’ouragans en 2020 qu’il a fallu faire intervenir l’alphabet Grec pour trouver des noms aux nouvelles tempêtes. Inondations, coulées de boue et feux de forets se sont succédés, sans compter les séismes, notamment celui de Turquie qui restera marqué dans l’Histoire. La manifestation climatique nous a fait comprendre que la planète est probablement plus que tannée de notre façon de vivre.  Si vous avez du temps prochainement, je vous recommande l’écoute de l’excellente baladodiffusion de Radio-Canada : 3.7 planètes avec François Bellefeuille.

Durant ce temps, les actes terroristes n’ont pas cessés, et bien que l’activité militaire ait diminué en 2020, on se rappellera que l’année a pratiquement débuté par le malheureux incident iranien où un avion civil de l’Ukraine International Airlines a été abattu par erreur par l’armée nationale, un avion qui contenait entre autres 63 Canadiens. La mauvaise gestion des entrepôts au Liban a généré cette année selon l’université de Sheffield, l’une des plus grosses explosion non-nucléaire de l’histoire de l’Humanité, rien que ça.  La deuxième explosion, la plus importante, serait l’équivalent d’un séisme d’une magnitude de 4.5 sur l’échelle de Richter.

Politiquement, l’année 2020 nous a apporté passablement d’événements. On se rappellera de l’attentat contre Alexeï Navalny, l’opposant de Vladimir Poutine qui nie avoir ordonné son assassinat, justifiant candidement que s’il avait voulu cela, il ne l’aurait pas manqué! J’ai eu des frissons en entendant cela. L’exil de l’opposante biélorusse, Svetlana Tikhanovskaïa est une autre illustration que les tensions politiques dans le monde n’ont pas pris de pause en 2020. Que dire de l’élection américaine si ce n’est qu’on aurait trouvé exagéré, un film qui aurait mis en scène ce à quoi nous avons assisté!  Ce fut du burlesque, une honte à la démocratie qui heureusement a gagné en fin de compte!  Ça c’est si on fait semblant d’oublier que Trump tentera de revenir pour son deuxième mandat… On aurait peut-être dû en finir et accepter quatre années supplémentaires dès maintenant, de toute manière nous nous y sommes habitués. En fin de règne, le président Trump s’est comporté comme un animal blessé, mordant tout le monde. N’importe quel président qui suit un tel mandat aura la tâche facile lorsqu’il fera le tour du Monde, pour excuser les dernières années, reprendre des ententes de collaborations internationales et relancer l’économie mondiale. Ne souhaitons rien à personne, mais la situation actuelle aux État-Unis pourrait nous donner au courant des prochaines années, la première femme présidente!  Selon certains, les pays qui sont dirigés par des femmes s’en sont généralement mieux tirés face à la pandémie actuelle. Cette affirmation a cependant été nuancée par des journalistes d’enquête constatant que cette affirmation ne peut être faite avec fermeté. Quoi qu’il en soit, personnellement, être témoin d’une façon différente de diriger une nation, j’ai le goût de vivre cela.

2020 et la pandémie de COVID-19 ont généré un tsunami de désinformations. Qanon, les déclarations de Radio-Québec et de certains artistes dénonçant les chemtrails, les manifestations de complotistes, les anti-masques qui crient au mensonge ont défrayé la manchette dans les nouveaux comme les médias traditionnels.  À ce chapitre, l’excellent travail des Décrypteurs (lien) est à recommander.  C’est bien de se questionner, mais de se désinformer consciemment ou non, et de partager cette fausse information, est questionnable.

Surréaliste 2020, elle nous laissait croire en début d’année que ce serait l’année des grands crus (vin-vin, 2020), il fallait plutôt additionner 20+20 = quarantaine. C’est en mars que nous avons tous été confrontés à l’étonnante réalité que le problème s’étant d’abord présenté en Chine ne resterait pas là-bas, nous vivons dans un grand village, nous sommes maintenant tous concernés par le problème d’un de ses habitants. La pandémie de COVID-19 est un drame humain indescriptible, qui chamboule la vie de tous et lorsqu’on trouve que nos célébrations des fêtes en COVIDéoconférence sont tristounettes par rapport à nos habitudes, imaginons ce que vivent, rien qu’au Québec, plus de 8 000 familles qui ont perdu un être cher qui n’a pas pu être du réveillon ZOOM. Je n’aime pas entendre que nous sommes tous dans le même bateau, car certains vivent dans une grande maison avec leurs enfants, d’autres sont confinés dans leur chambre de résidence pour personnes âgées, d’autres ont acheté un petit condo dans Griffintown près des restos et de l’activité culturelle mais n’en profitent plus, certains vivent seuls et ça doit être long.  Nous ne sommes pas tous dans le même bateau, mais nous sommes tous dans la même tempête et personnellement je me trouve chanceux parce que outre deux clientes, aucun de mes proches n’a heureusement succombé à cette calamité.

La Pandémie de COVID-19 n’a cependant pas apporté que du négatif dans nos vies, elle a apporté beaucoup de positif. Premièrement elle a fait entrer dans le langage populaire, de « nouveaux mots » et de véritables néologismes. En effet, les mots « asymptomatique », « ARN », « reconfinement », « dépistage », « COVidiots » qui ne respectent rien ni personne, « COVidéoconférence » n’ont plus de secret, sans oublier le fameux « écouvillon », sorte de Q-tips de quatre pieds de long enfoncé jusque dans le fond du cerveau pour vérifier la présence du virus. La pandémie a également agi comme une lumière permettant de nous révéler plus fortement les inégalités sociales, les violences perpétrées contre les Noirs aux États-Unis, les Autochtones au Québec, les femmes et les enfants. J’ai espoir que cette mise en lumière génèrera de véritables avancées pour ces groupes.  La pandémie a forcé des avancées technologiques à vitesse grand V.  Soudainement des activités autrefois impossible à réaliser avec de la technologie, sont devenues réalisables avec l’obligation de se « réinventer » pour aller de l’avant. Je pense aux transactions immobilières à distance maintenant effectuées en appuyant sur un bouton de souris pour confirmer notre achat, aux réunions ZOOM avec la famille, aux spectacles en webdiffusion, au télétravail devenu la norme alors que plusieurs employeurs étaient réticents avant la pandémie, pour ne nommer que cela.  Nous sommes témoins de la disparition des chèques, remplacés par des virements bancaires directs et à la quasi disparition de l’argent comptant, de moins en moins utilisé dans la population. Évidemment, elle nous a privé de la Formule 1 à Montréal, de plusieurs événements sportifs dont les Olympiques 2020 qui sont reportés à 2021 (pour l’instant), mais elle a justement permis au monde sportif de trouver des solutions pour vivre dans cette nouvelle « normalité ». Finalement elle a permis de constater une fois de plus que, confronté à des problèmes d’apparence insurmontables, le genre humain est capable de solidarité, de créativité et de résilience exemplaire. Il y aura un « avant » et un « après » la pandémie de COVID-19, sur le point personnel, technologique, comportemental et sociétal.  Je ne sais pas vraiment de quoi notre société aura l’air après cela, mais au risque de me répéter, nous en sortirons certainement meilleurs et grandis.

Parallèlement à tout cela, notons que 2020 nous a permis d’assister à la première mission spatiale habitée menée par une entreprise privée, SpaceX de Elon Musk.

Certains s’inquiètent de l’endettement du Canada au sortir de cette crise financière sans précédent, ce n’est pas mon cas.  Dans un premier temps, nous avions l’une des meilleures marges de manœuvre au sein du G7 (dont le sommet s’est tenu cette année en COVidéoconférence, une première). Au sortir, nous aurons probablement un taux d’endettement du PIB d’un peu plus de 60 % et ce n’est pas grave. Serions-nous vraiment préoccupé face à un individu qui gagne 50 000 $ dans une année et qui a une dette totale de 30 000 $?  Ce sera ça la pression financière sur le Canada qui finance ses interventions à des taux d’intérêt ridiculement bas, frôlant le 0 %. Les gouvernements agissent actuellement comme une personne marchant sur une plage dans le sud, qui se fait menacer par un individu armé et qui n’hésite pas à donner son portefeuille au complet, dans le but de s’en sortir idéalement sans blessure permanente. Le gouvernement du Canada fait des chèques sans vérifier parce que pour l’instant, l’important c’est de demeurer en vie, au sens propre comme au sens figuré. Quand tout sera derrière nous, on pourchassera les fraudeurs. En terminant, nous ne nous endettons pas vraiment, parce qu’aucun pays dans le monde ne fait autre chose actuellement que de combattre contre le virus, ils n’achètent pas des obligations canadiennes, d’où provient alors l’argent? De l’imprimante gouvernementale, de la Banque du Canada qui imprime de l’argent contre une reconnaissance de dette gouvernementale.  C’est comme si vous aviez 20 dollars dans votre poche de gauche et le déplaciez dans votre poche de droite en prenant soin d’écrire sur un petit papier que vous devez cet argent à votre poche de gauche… On se doit cet argent, on ne le doit à personne d’autre. Quand tout cela sera terminé, on ne mettra pas en place une taxe de récupération qu’on appellera probablement COVide-tes-poches, le gouvernement retirera graduellement de l’argent en circulation et annulera les petits papiers mis dans la poche de la Banque du Canada. Le seul danger dans l’impression de la monnaie de manière débridée, c’est que cela créé de l’inflation et heureusement que c’est arrivé, car en juillet l’inflation, selon Statistique Canada n’a été que de 0.1 %!  N’eut été de la création de monnaie et l’inflation que cela génère, nous aurions pu être en situation de déflation et cela est terrible pour une économie.

En fait, 2020 a été une excellente année à plusieurs égards. Bien qu’elle ait commencé au pays par un blocus ferroviaire pour soutenir la communauté autochtone wet’suwet’en, l’économie canadienne et américaine étaient dans une situation de plein emploi au point où il ne se passait pas une semaine sans qu’on ne parle de la pénurie de main d’oeuvre. Malgré la pandémie, l’immobilier résidentiel a connu contre toute attente, une croissance importante. L’année boursière a commencé en lion pour amorcer un effondrement à partir du 12 février jusqu’au 23 mars, creux de l’année. Le redressement a été spectaculaire, soutenu par l’attitude des gouvernements partout sur la planète qui ont mis en place des mécanismes financiers de soutien et qui ont tous déclaré que leur soutien n’avait pas de limite, qu’ils ne cesseront pas tant que la situation le requerra. Les marchés sont passés au travers de l’impensable, la fermeture complète de l’économie planétaire pendant plusieurs mois! Si je vous avais prédit un tel arrêt de l’économie en absence de guerre, vous auriez soupçonné un gros solde de points sur ma carte de fidélité de la SQDC! Les marchés ont compris que malgré cette fermeture, l’économie soutenue par la consommation, poursuit sa route.  La consommation s’est modifiée, s’est déplacée vers d’autres secteurs, mais est toujours là, la vie continue malgré la tempête. L’année 2020 a été une année boursière excellente, une croissance d’environ 7 % des principaux indices ce qui se traduit par la croissance des actifs investis de mes clients.  Ce n’est pas étonnant que le bureau ait atteint un record d’actifs sous gestion tout comme PEAK qui vient d’annoncer avoir dépassé les 13 milliards d’actifs.

Au bureau, nous avons la chance d’avoir une équipe exceptionnelle qui a su s’adapter et réussir sa transition vers le télétravail en quelques heures.  L’infrastructure informatique a en outre permis de poursuivre le travail sans perte d’efficacité et le système téléphonique peut laisser croire que nous sommes tous au bureau tant il est efficace. Étant donné l’évolution de la crise sanitaire, il est peu probable cependant que nous revenions au bureau avant septembre prochain. D’ailleurs, bien que nous ayons été déclaré comme étant une entreprise essentielle, afin d’harmoniser notre travail avec la pause économique québécoise, nos bureaux seront fermés jusqu’au 10 janvier prochain, un repos prolongé qui nous profitera à tous.

Sur une autre note, nous avons une fois de plus versé plus de 25 000 $ à la Fondation québécoise du Cancer, particulièrement en soutien à son événement Cancerto Montréal qui a accumulé cette année plus de 257 000 $. Je profite de l’occasion pour remercier tous nos clients qui nous ont aidé à soutenir la fondation ainsi que sa clientèle luttant contre le cancer. L’événement a été webdiffusé et est disponible pour quelques jours encore sur YouTube (lien), comme les autres Cancertos des autres régions du Québec (lien).

L’année 2020 s’est pour moi terminée par une reconnaissance de l’industrie des services financiers au courant de la dernière semaine. J’ai été nommé par la Chambre de Sécurité Financière pour siéger à son comité de discipline. C’est une implication qui me permettra de supporter la Chambre dans son mandat de protection du public.

En terminant, toute l’équipe se joint à moi pour vous remercier, aujourd’hui plus que jamais, pour votre confiance et votre présence dans notre vie.  Nous vivons des moments particuliers, qui resteront gravés dans notre mémoire à jamais, comme le sentiment que nous avons de vous savoir à nos côtés.  2021 sera l’année de tous les espoirs et peu importe comment la suite se déroulera, nous serons là pour vous, comme vous l’êtes pour nous. Soyez prudents, restez en santé.

 

11 réflexions au sujet de “2020, un bilan particulier…”

  1. Félicitations Eric pour cet excellent récapitulatif et une mise en perspective judicieuse des évènements extraordinaires qui se sont déroulés en 2020. Pour 2021, il nous faudrait une petite guéguerre… juste pour sortir de la routine! Bonne fin d’année. Guy

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  2. Tant et si bien dit! Bravo Éric pour ta nouvelle nomination! Bonne fin 2020 et surtout, Santé, Bonheur et Sérénité pour entrer dans la tant attendue 2021!
    Johanne et Luc

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  3. Merci Éric pour cet excellent récapitulatif de l’année 2020. Ça nous permet de prendre du recul, de nuancer nos humeurs passagères qui ne sont pas toujours les meilleures conseillères, de voir les plus et les moins de cette année qui se termine. On est quand même pas fâché que ça se termine et on se souhaite le meilleur en 2021.
    A toi, à tes collaborateurs(trices), à ta famille je vous souhaite ce qu’il y a de mieux pour la prochaine année, à commencer évidemment par la santé ( le restant on s’en occupe).
    Félicitations pour cette nomination au comité de discipline de la Chambre. Bonne année.
    Pierre

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  4. Matthias Rioux 30 décembre 2020
    Bonjour Éric,
    Il m’est, rarement arrivé de te félicité, sans doute parce que je suis relativement satisfait des services que je reçois de ton entreprise. Cependant, j’éprouve un certain malaise de n’avoir su trouver les mots traduisant mon appréciation de ta valeureuse équipe compétente et fiable. Simon peut témoigner du respect que je te porte et de la confiance mainte fois exprimée à l’endroit de tes collaborateurs. S’agissant de mon petit pécule que je t’ai confié, il y a de cela plusieurs années, je t’informe qu’en l’espèce Simon et moi faisons la paire. Voilà cher Éric, je suis passé aux aveux. Un bon pénitent j’attends ta miséricorde.
    Deux remarques au sujet de ton Bilan. En plaçant sur ma tête mon chapeau d’ancien journaliste, il me plait de dire bravo pour ton survol de l’année 2020. Un beau travail de recherche, de synthèse et d’analyse que mes amis des médias écrits et électroniques auraient intérêts à lire. En vérité, tu en donnes plus que tes clients en demandent. J’y ai vu l’élan d’un entrepreneur innovant, d’un acteur social soucieux de l’intérêt public ne perdant jamais de vue celui de ces clients.
    Un mot sur l’économie et les finances publiques. Il est vrai de prétendre (contre toute attente), que l’économie a résisté aux intempéries et que les bourses ont rebondi de manière spectaculaire. S’agissant de l’endettement du gouvernement canadien, je soumets que depuis le règne de Trudeau père, le développement économique s’est fait par l’endettement public. Tous les gouvernements (incluant celui de Mulroney) ont développé la culture des déficits et de l’endettement. Tu évoques le PIB à 60% comme prix de consolation. J’aimerais un jour en débattre avec toi. Cependant et avec raison, tu soutiens que la pandémie a forcé les gouvernements à ouvrir les vannes de façons exceptionnelles, puisqu’il et faillait sauver des vies et les meubles. Jamais de ma vie ai-je vu un gouvernement (celui de Trudeau) lancer l’argent à tous les vents et m’importe comment et à n’importe qui. Une fureur maladive, bassement électoraliste de la part d’un parvenu dont le pouvoir rend ivre. La machine à imprimer de l’argent (400 MILLIARDS) comme par magie s’est emballée. Pas de problème les taux d’intérêt sont bas (comme au temps des créditistes de Réal Caouette). Je me conterai de souhaiter bonne chance aux jeunes familles et aux nouveaux arrivants sur le marché du travail.
    Voilà, cher Éric, les réflexions par trop sommaires, d’un sociologue qui aime l’économie et le Québec. Surtout l’économie du partage et de la justice sociale.
    Merci pour les vœux que tu m’adresses. En retour, je t’offre ainsi qu’à ton équipe, à ta famille et ceux que tu aimes, une année de bonheur, de réussite et la santé pour y parvenir. Matthias

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    • Bonjour Mathias, J’ai reçu beaucoup de commentaires sur cet article et sans rien enlever aux autres, je suis touché par vos commentaires qui me réchauffent le coeur. Je vous remercie pour ce moment de bonheur. Restez en santé SVP!

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  5. Bravo pour ce beau résumé de l’année 2020. Un vrai BYE-BYE! Je vous souhaite une bonne et heureuse année pour toi , ta famille et ton équipe. Que l’année 2021 vous garde en santé et vous apporte la paix du coeur et de l’esprit.

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  6. Bonjour et merci à tous pour vos bons mots, cela me réchauffe le coeur et m’incite à continuer à vous écrire. Cette année plus que jamais, je vous souhaite la santé.

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